Le premier qui baisse la garde a perdu.
« A cet étage du monde il n’y a pas d’amis, seulement des adversaires qu’on garde plus ou moins près de soi. »
Victor Laplace ne pourra faire le deuil de son père qu’après avoir détruit celui qu’il tient pour responsable de son suicide. Cet ennemi est consultant pour un des cabinets les plus réputés et en prend bientôt la tête. Alors Victor s’y fait embaucher et se rapproche méthodiquement de sa cible, malgré le prix à payer. Grâce à sa volonté de vengeance et sa maîtrise des algorithmes et de l’intelligence artificielle. Il portera même son adversaire jusqu’au dernier étage du monde, dont la chute est fatale…
Fin connaisseur de cet univers qu’il décrit, l’auteur, dont c’est le premier roman, nous fait voyager au cœur de cette nouvelle économie impitoyable, obsédée par le page rank, l’IoB, les data, les technologies persuasives, etc. Ce roman qui se lit comme un thriller rend accessible la révolution technologique dans laquelle nous vivons déjà sans avoir forcément conscience.
In terra pax hominibus bonae voluntatis. Dona nobis pacem.
A lire en écoutant les suites pour violoncelle seul de J.S. Bach.
Lorsqu’elle est embauchée par un luthier parisien au savoir-faire légendaire, Pamina se voit confier un violoncelle très précieux, un Gofriller, qui va lui révéler une part inconnue de sa propre histoire familiale.
Du Japon de la seconde guerre mondiale au Paris contemporain, l’auteur nous dévoile avec délicatesse des destins unis par l’amour et la musique mais brisés par le totalitarisme et la guerre. Ecrivain japonais d’expression japonaise et française, Akira Mizubayashi distille une expression poétique et précise qui révèle avec délicatesse la complexité de ces personnages et par extension de l’âme humaine. Il dénonce aussi avec force les dérives autoritaires qui ont blessé le Japon et déchiré les familles.
Ce roman est aussi une déclaration d’amour à la musique et une réflexion sur ce qu’elle apporte au cœur des femmes et des hommes, les réunissant et les unissant au-delà des frontières et des conflits idéologiques.
Le premier qui baisse la garde a perdu.
« A cet étage du monde il n’y a pas d’amis, seulement des adversaires qu’on garde plus ou moins près de soi. »
Victor Laplace ne pourra faire le deuil de son père qu’après avoir détruit celui qu’il tient pour responsable de son suicide. Cet ennemi est consultant pour un des cabinets les plus réputés et en prend bientôt la tête. Alors Victor s’y fait embaucher et se rapproche méthodiquement de sa cible, malgré le prix à payer. Grâce à sa volonté de vengeance et sa maîtrise des algorithmes et de l’intelligence artificielle. Il portera même son adversaire jusqu’au dernier étage du monde, dont la chute est fatale…
Fin connaisseur de cet univers qu’il décrit, l’auteur, dont c’est le premier roman, nous fait voyager au cœur de cette nouvelle économie impitoyable, obsédée par le page rank, l’IoB, les data, les technologies persuasives, etc. Ce roman qui se lit comme un thriller rend accessible la révolution technologique dans laquelle nous vivons déjà sans avoir forcément conscience.
Vous ne verrez plus les best-sellers de la même manière !
Henri et Paul fréquentent la même prépa littéraire à Rueil. Le premier, grand bourgeois parisien s’épanouit ensuite dans les coulisses parisiennes du journalisme et de l’édition. Le second, provincial modeste, ne connaît les succès littéraires que comme plume d’auteurs populaires à très gros succès. Ecrivain malheureux, amoureux malheureux, il finit par se suicider.
D’une plume mêlant l’auto-dérision et la précision du style, l’auteur nous dévoile les dessous sans concession du monde de l’édition, resté très centré sur Saint-Germain-des-Prés.
Nul besoin d’être initié pour percevoir le cynisme des grandes maisons d’édition et de certains auteurs de best-sellers décrits dans ce récit caustique.
Quand Molière rencontre Morricone
Haut les mains et haut les cœurs !
Pour Alexis, acteur bellâtre à l’apogée de sa gloire, c’est le burn-out : tout le monde l’attend mais rien à faire, il ne vient pas. Ennuyant lorsque l’on tient le rôle-titre de la nouvelle super production du théâtre français !
Dom Juan s’est donc fait la malle, avec la première dans quelques jours
à peine.
Aurore, femme active et débordée est dans la même situation, celle du trop plein. Tels deux fuyards hors-la-loi, les deux protagonistes ne pourront que se rencontrer….
Chapitres courts comme les derniers instants de calme avant la tempête, face à face, courses poursuites contre l’autre et contre soi-même, duels…Pas besoin de Far-West pour avoir l’intensité d’un Western !