- EAN13
- 9782763798257
- Éditeur
- PUL Diffusion
- Date de publication
- 04/04/2013
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
1812-1814 : une guerre fondatrice pour le Canada? C’est ce qu’avance en 2012
le gouvernement fédéral dans ses commémorations du bicentenaire. Mais qu’en
fut-il vraiment pour les Voltigeurs canadiens qui, sous les ordres de Charles-
Michel d’Irumberry de Salaberry, repoussèrent l’invasion américaine? Un
témoignage direct et souvent critique sur cette guerre nous permet de revivre
l’évènement au jour le jour et de mieux comprendre la mentalité des Canadiens
engagés dans la bataille. Le journal de campagne et la correspondance que nous
proposons ici sont le fait d’un jeune capitaine des Voltigeurs : Jacques
Viger. À vingt-six ans, celui qui deviendra le premier maire de Montréal a
déjà collaboré au journal Le Canadien. Bien avant de présider la Société
Saint-Jean-Baptiste, Jacques Viger figure au centre d’un important réseau
familial, culturel et politique au Bas-Canada. Les lettres qu’il adresse à son
épouse, Marguerite de La Corne-lennox, font les délices du salon littéraire
qu’elle anime à Montréal. Les Viger y côtoient les Cherrier, les Lartigue et
les Papineau, dont Louis-Joseph, futur chef du parti Patriote.
le gouvernement fédéral dans ses commémorations du bicentenaire. Mais qu’en
fut-il vraiment pour les Voltigeurs canadiens qui, sous les ordres de Charles-
Michel d’Irumberry de Salaberry, repoussèrent l’invasion américaine? Un
témoignage direct et souvent critique sur cette guerre nous permet de revivre
l’évènement au jour le jour et de mieux comprendre la mentalité des Canadiens
engagés dans la bataille. Le journal de campagne et la correspondance que nous
proposons ici sont le fait d’un jeune capitaine des Voltigeurs : Jacques
Viger. À vingt-six ans, celui qui deviendra le premier maire de Montréal a
déjà collaboré au journal Le Canadien. Bien avant de présider la Société
Saint-Jean-Baptiste, Jacques Viger figure au centre d’un important réseau
familial, culturel et politique au Bas-Canada. Les lettres qu’il adresse à son
épouse, Marguerite de La Corne-lennox, font les délices du salon littéraire
qu’elle anime à Montréal. Les Viger y côtoient les Cherrier, les Lartigue et
les Papineau, dont Louis-Joseph, futur chef du parti Patriote.
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